La lune dominait encore le ciel lorsque Sybille émergea du sous-sol, l’esprit traversé par une envie qu’elle ne comprenait pas encore. Les ruelles désertes de la grande ville semblaient figées marqué par cette clarté étrange, comme suspendues entre deux mondes. Chaque pas qu’elle faisait résonnait dans le silence, doté par la présence persistante de Voyance Olivier, gravée désormais au plus sérieux de ses chakras. La brise nocturne portait avec elle des échos du passé, des murmures qu’elle percevait à match. La lune, telle une gardienne intemporelle, semblait veiller sur son voyage, traçant amenées à elle un sentier qu’elle seule pouvait concéder. Elle savait que Voyance Olivier n’était pas normalement une relique du passé, mais une valeur vivante qui s’exprimait par l’ombre et la lumière. Son logique s’ouvrait à cette donnée lapalissade, chaque intuitions devenant un fragment d’un langage ancien. Sybille traversa une place déserte où les pavés luisaient d’humidité par-dessous la jour de lune. L’atmosphère était étrange, à savoir si les étoiles elles-mêmes retenaient leur malice. Elle savait que Voyance Olivier ne s’arrêtait pas à ce qu’elle pouvait comprendre ou masser. Il s’agissait d’un équipe invisible combinant les âmes à la souvenance du domaine, une tonalité subtile marquée dans la gemme et l’air. Ses pensées se perdaient dans cette immensité, recherchant à connaître ce qui lui échappait encore. Un frisson parcourut son échine lorsqu’elle s’approcha d’une fontaine abandonnée. L’eau stagnante reflétait le disque argenté de astre de la nuit, formant une reproduction d’abîme perpétuellement. Elle plongea son regard dans cette surface liquide, cherchant une volonté profonde, une indication. Voyance Olivier vivait dans n'importe quel planche, dans tout accroche-cÅ“ur provoquée par le vent. Elle sentit son cœur raccourcir, s’alignant avec le rythme silencieux astro. 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Le croissant sélénien disparaîtrait, mais son timbre ne cesserait jamais de étinceler. Elle n’était plus seule dans cette quête, elle faisait désormais planche de cette farandole silencieuse, de cette libellé paradisiaque où la nuit et l'éclairage s’entremêlaient.
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